鶹ý

Droits de l'Homme

Femme atteinte d'albinisme profitant d'une journée ensoleillée au parc.

Le risque de cancer de la peau est extrêmement élevé pour les personnes atteintes d'albinisme, et le manque d'accès à la crème solaire, aux équipements de protection, ainsi qu'au dépistage et au traitement du cancer de la peau peut entraîner des décès prévisibles, mais évitables. Le cancer de la peau est ainsi la première cause de décès chez les personnes atteintes d'albinisme dans la région d'Afrique australe, ce qui fait de la crème solaire un médicament essentiel et non un produit cosmétique. Le thème de cette Journée internationale de sensibilisation à l'albinisme souligne le besoin urgent de prévenir le cancer de la peau chez les personnes atteintes d'albinisme par la sensibilisation, le dépistage et l'accès à la crème solaire.

Chaque année, plus de 1,2 million de personnes meurent sur les routes. Un fléau mondial, souvent ignoré, que l’Envoyé spécial du Secrétaire général des Nations Unies pour la sécurité routière, Jean Todt, qualifie de « pandémie silencieuse ».

À l’occasion de la 8ᵉ Semaine mondiale pour la sécurité routière, ONU Info Genève lui donne la parole aux côtés du Lieutenant Jérôme Albert, chef du Bureau de secours et d’assistance aux personnes de l’Essonne, en France.

Pourquoi ce drame humain et économique reste-t-il sous les radars médiatiques ? Quelles sont les actions concrètes à mettre en œuvre pour inverser la tendance, en particulier dans les pays les plus touchés ?

Dans , il est aussi question de mobilité durable, d’art engagé avec l’initiative « Helmets for Hope », et de la force du sport et de la culture pour faire passer des messages de prévention.

« La confiance des gens qui veulent que la vérité éclate, qui veulent témoigner et qui veulent que les choses changent dans ma région... Ce sont eux qui m’ont donné la force de faire ce travail ». Manuel Calloquispe Flores travaille comme journaliste depuis 15 ans et enquête depuis plus de 10 ans sur l’exploitation illégale de l’or à La Pampa, dans la région amazonienne du sud-est de Madre de Dios, au Pérou. L’exploitation minière n’est pas autorisée dans la région en raison de ses effets néfastes sur la préservation. Depuis 2011, entre cinq et quinze hectares de terres sont déboisés chaque jour et plus de 600 tonnes de mercure ont été déversées dans le sol pour extraire de l’or.

Dans les années 1970, le Bajo Aguán fut l’épicentre de la réforme agraire au Honduras. Des centaines de familles ont été déplacées du sud et de l’ouest du pays vers ces terres fertiles, dans le cadre d’un processus de migration induite, poussées par la promesse d’une vie digne. La population rurale, y compris les paysans et les travailleurs agricoles, est souvent confrontée à la discrimination systématique et à de nombreux problèmes liés aux droits humains. Depuis 2022, le HCDH fournit un soutien technique, recense les violations, aide les procureurs et accompagne les procédures judiciaires en tant qu’observateur international. Il a également contribué à la signature de l’accord du 22 février 2022 entre le Gouvernement et les organisations paysannes.

Les États et les entreprises privées ont des obligations et des responsabilités en vertu du droit et des normes internationaux en matière de prévention, de traitement et d’atténuation des effets néfastes des transferts d’armes sur les droits humains. Cependant, il existe de nombreuses lacunes entre ce que les États et le secteur privé devraient faire et ce qu’ils font en pratique, ce qui a des conséquences dévastatrices sur les civils. Alors que le monde est confronté au plus grand nombre de conflits depuis la Seconde Guerre mondiale, un nombre croissant de défenseurs des droits humains, d’avocats et d’organisations non gouvernementales se tournent vers les tribunaux pour obliger les entreprises et les États à rendre compte de leurs actes et demander à ces derniers d'empêcher les livraisons d’armes qui alimentent les violations.

«&Բ; est une pratique qui ne devrait pas exister au XXIe siècle » a déclaré Volker Türk, , lors de la 58e session du Conseil des droits de l’homme à Genève. Dans son discours, il a souligné le rôle prépondérant qu'ont joué les pays du Sud dans le mouvement d'abolition de la peine capitale, sous l'impulsion de réformes juridiques et d'interventions judiciaires. Malgré ce progrès, en 2023, les exécutions ont augmenté de 31 % par rapport à l’année précédente, avec 1 153 exécutions enregistrées dans seize pays, notamment en Iran, en Arabie saoudite, en Somalie et aux États-Unis. Plus de 40 % de ces exécutions concernaient des infractions liées à la drogue, principalement en Iran. M. Türk a réitéré le rôle essentiel du pouvoir judiciaire dans l'interprétation de la loi en faveur de l'abolition, faisant référence aux réformes récentes du Malawi et de la Malaisie.

Cela fait 30 ans que les dirigeants mondiaux réunis à Beijing ont établi un . En dépit de progrès, les inégalités économiques auxquelles les femmes sont confrontées sont profondément ancrées dans les sociétés et les institutions, ce qui peut exacerber d’autres difficultés auxquelles elles doivent faire face, comme la violence domestique. Le pour les institutions publiques est un programme volontaire dans plus de 100 institutions publiques et dans plus de 30 pays ayant comme objectif de renforcer les réformes politiques et de mieux répondre aux besoins des femmes, dans toute leur diversité.

Créé par des défenseuses des droits humains à Kairouan, dans le centre de la Tunisie, le centre d’hébergement pour femmes « Arwa la Kairouanaise » offre une protection, des soins psychologiques, des consultations médicales et des services juridiques et sociaux à des femmes et des enfants ayant survécu à la violence domestique ou fondée sur le genre. Le centre favorise aussi leur autonomisation économique grâce à des formations professionnelles.

« Nous n'avons pas le droit à l'éducation, pas le droit de travailler, pas le droit d'exister librement. Ils nous excluent de la société. » Depuis que les talibans ont pris le contrôle de l'Afghanistan en 2021, ils ont publié plus de 70 décrets restreignant les droits des femmes et des filles. À l'occasion de la Journée internationale des femmes, l'UNESCO donne la parole aux Afghanes et met en lumière l'impact de la perte d'opportunités d'éducation.

Avec à leurs côtés le bureau du HCDH, les habitants de Temacapulín se sont mobilisés pour modifier un projet de barrage qui aurait inondé leur ville.

La a débuté le 24 février 2025 et continuera ses travaux jusqu'au 4 avril 2025, dans un contex

« De plus en plus de conflits bouleversent nos vies, nos moyens de subsistance et notre avenir commun », a déclaré Volker Türk, Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme. « Dans chaque région, nous assistons à une polarisation croissante des sociétés en groupes distincts et hostiles. Les minorités ethniques et les étrangers sont attaqués, et les minorités religieuses sont confrontées à une montée de la violence et de la haine. » Le HCDH soutient depuis 2017 le cadre « La foi pour les droits », qui rassemble des chefs religieux et des acteurs confessionnels afin qu’ils apprennent les uns des autres et défendent ensemble les droits de tous. Cette plateforme encourage le dialogue et l’action interdisciplinaires dans le but de promouvoir des sociétés paisibles, où la diversité est non seulement tolérée, mais aussi pleinement respectée et célébrée.

Comme des milliers d’autres habitants du village de Talataye, au Mali, Nana Hadiza a dû quitter sa maison pour fuir le conflit et trouvé refuge sur le site de déplacés de Sossokoira à Gao.

Traumatisantes. Douloureuses. Irréversibles. Les mutilations génitales féminines (MGF) constituent une violation des droits humains qui inflige des souffrances à vie à des millions de femmes et de filles. Ce sont des pratiques préjudiciables qui persistent en raison de normes et mythes culturels. Elles n’ont aucun effet bénéfique sur la santé, mais elles entraînent un traumatisme physique et psychologique à vie pour les survivantes. ONU-Femmes revient sur les questions les plus fréquemment posées sur les mutilations génitales féminines.